2001-01-10 | Créations, 2001 à 2005, Littérature des Souverains

À L'OMBRE DES MURS

« Je vis à l'ombre d'un coeur »

.. toujours à cette même jeune femme extraordinaire qui pleure en silence

Je vis à l'ombre des murs
Quelque part en moi
L'erreur fait mal, c'est sûr!
Mais, ne suis-je que ça?

Je vis à l'ombre des murs
Quelque part en moi
Mon étoile brille, c'est sûr!
Je suis ce que l'on ne voit pas
Ce que l'on ne sait pas...

Je suis le bon, je suis le vil
Je vis à l'ombre des hommes et des villes
Je suis ce que l'on cache
L'indélébile qui tache...

Je vis à l'ombre d'un coeur
Dans sa lumière, sa noirceur
J'entends vos rires, vos pleurs
vos joies et vos peurs

Je vis à l'ombres des coeurs...

AIME, le Souverain (Nicodème Camarda)
Mardi, 5 septembre 2000

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